Ne pensez surtout pas que vous serez ridicule en pratiquant cette danse issue de la trilogie SBK (salsa, bachata, kizomba), aujourd’hui très en vogue et souvent associée à un public jeune et dynamique.
La vérité, c’est que la kizomba séduit toutes les générations, et beaucoup la découvrent… parfois bien après 50 ans. Et c’est une excellente nouvelle !
La kizomba, née d’un mélange de danses traditionnelles angolaises et de rythmes africains et antillais, porte d’ailleurs très bien son nom : en kimbundu, « kizomba » signifie fête. Rien que ce mot promet une expérience chaleureuse, joyeuse et profondément humaine.
C’est une danse accessible, qui ne repose ni sur la performance ni sur l’acrobatie, mais sur l’écoute, la connexion et le plaisir partagé. Ses mouvements doux et fluides sollicitent les muscles des jambes et du dos, améliorant la posture, la souplesse et la coordination.
Elle stimule aussi le cœur et l’esprit, contribuant à entretenir sa forme physique tout en apportant une véritable détente.
La kizomba demande une grande connexion avec son partenaire, ce qui permet aux danseurs débutants – hommes comme femmes – de gagner en confiance, en communication et en présence à l’autre.
Dansée sur des musiques riches en émotions, elle offre une parenthèse romantique et sensuelle, où l’on peut se laisser emporter dans une expérience sensorielle douce, apaisante et profondément agréable.
Danser la kizomba à 50 ans ou plus, c’est surtout :
- redécouvrir son corps dans une danse fluide et accessible,
- partager un moment social chaleureux et bienveillant,
- s’offrir un espace de liberté,
- se reconnecter à soi… et aux autres.